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Découvrez l’écharpe relationnelle, un outil essentiel de la Méthode ESPERE® 

L'écharpe relationnelle

L’écharpe relationnelle

L’écharpe relationnelle est un outil de la Méthode ESPERE® de Jacques Salomé, qui permet de prendre conscience de notre responsabilité dans nos relations et nous aide ainsi à mieux nous positionner.

En effet, lorsque nous sommes en relation avec quelqu’un, nous ne voyons pas la relation qu’il y a entre nous et pourtant elle existe.

Par exemple, nous avons une relation avec notre conjoint(e), celle-ci existe bien, même si elle est invisible, et elle est différente de celle que nous avons avec nos enfants, avec notre chef etc… Chaque relation est unique.

Utiliser l’écharpe relationnelle va nous permettre de montrer le lien qu’il y a entre nous et de voir qu’il existe, indépendamment des personnes qu’il relie.

Ainsi nous sommes toujours trois dans une relation : moi, l’autre et la relation.

L’écharpe relationnelle nous permet de voir que chacun tient un bout, une extrémité de cette relation.

Chacun est responsable de son bout : je suis responsable de ce que je dis, ce que je fais, ce que je ressens… et l’autre est responsable de la même façon de ses paroles, de ses actes, de ses ressentis…

Avoir recours à l’écharpe relationnelle nous permet de nous responsabiliser : nous sommes responsables à 50 % de nos relations, ni plus ni moins.

Lorsque nous restons bien à notre bout de la relation, la communication est plus fluide, plus authentique, nous parlons de nous à l’autre, nous utilisons au maximum le « je ».

Les difficultés arrivent quand nous nous mettons au bout de l’autre, à sa place. Cela se manifeste de la façon suivante : nous pensons pour l’autre, à sa place, et nous parlons sur lui « tu devrais faire ceci, tu n’es jamais à l’heure, tu n’as pas fait attention… ». Lorsque nous faisons cela, nous lâchons en quelque sorte notre bout d’écharpe et nous venons prendre celui de l’autre personne. Au lieu de dire ce que nous ressentons et ce que nous voulons, nous parlons sur l’autre. C’est pourquoi l’autre personne peut se sentir étouffée, dépossédée de son vécu, infantilisée… c’est comme si elle n’était pas capable de gérer seule son bout de la relation !

Or c’est ce mode de communication que nous pratiquons bien souvent : le positionnement et la responsabilisation ne coulent pas de source, nous avons parfois subi la parole d’un autre sur nous : parents, professeurs… et retrouver sa propre parole n’est pas évident en soi.

Le principe de la visualisation, développé par Jacques Salomé,  notamment avec l’écharpe, consiste justement à changer nos habitudes relationnelles. Les mots ne sont pas toujours suffisants, en matière de communication et le recours à la visualisation s’avère très utile pour conscientiser et mettre en pratique une communication plus responsable.

C’est pourquoi je vous invite à utiliser l’écharpe relationnelle pour mieux vous positionner dans vos relations, en gardant à l’esprit que vous n’êtes responsables que de votre extrémité de la relation.

Je vous propose de mettre en pratique concrètement cet outil, c’est facile : prenez une écharpe ou un foulard et osez la tendre à quelqu’un, surtout si la relation est proche et si la communication est difficile. Cela vous permettra de vous positionner à votre bout de la relation, et de laisser l’autre prendre sa place.

Voici un exemple d’application concrète : si je suis énervée par le comportement de quelqu’un, je peux utiliser l’écharpe relationnelle pour dire ce que je ressens à mon bout de la relation par rapport à ce comportement. Cela permettra de conscientiser que ce n’est pas l’autre qui m’énerve mais moi qui suis énervée par rapport à son acte 😉 Avec l’écharpe, je vois bien que je suis responsable de ce que je ressens et de ce que je fais de mon énervement : l’autre est responsable de son comportement, pas de mon ressenti. Je vais ainsi pouvoir parler à mon bout : dire « je suis énervée » plutôt que « tu m’énerves », dire mes attentes plutôt que des reproches…

Je vous invite d’ailleurs à consulter ici un précédent article que j’ai rédigé sur les différentes façons de mieux communiquer

L’écharpe relationnelle vous permettra, je l’espère, de vous responsabiliser et d’améliorer la qualité de vos relations.

Si vous avez des questions, des expériences à partager, je vous invite à le faire dans les commentaires!

Inventer sa vie

Anaïs EUVERTE post on juillet 23rd, 2013
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Chute d?eau fleurie sur ses bordures.Je ne sais pas si vous êtes au courant, alors je voudrais vous faire part d’une découverte que j’ai faite en lisant les ouvrages de Jacques Salomé et en me formant à la Méthode ESPERE® 🙂

J’ai découvert qu’il est possible de vivre une vie qui nous convient, une vie que nous choisissons.

Oui, chacun a la possibilité de vivre sa vie telle qu’il l’entend. Chacun de nous peut faire des choix qui lui permettent d’exister plus pleinement et de devenir lui-même.

Nous ne sommes pas définis par notre histoire, nos parents, notre travail, nos enfants, la crise, que sais-je encore ! Il n’y a pas d’excuse valable pour renoncer à une vie qui nous appelle (que ce soit pour se réaliser professionnellement ou personnellement).  Nos vies ne sont pas tracées d’avance et nous pouvons toujours rectifier le tir si nous avons le sentiment de nous être égarés.

Introduire de la conscience dans notre existence, c’est garder à l’esprit qu’à chaque minute qui passe, nous avons la possibilité de choisir le chemin que nous prenons et de vivre autrement. La possibilité d’expérimenter d’autres choix, d’autres réponses (même si ça fait 30 ans que nous vivons au même endroit, il n’est jamais trop tard pour en changer si l’envie nous en prend !).

L’essentiel étant de pouvoir s’autoriser à se poser la question : est-ce que les actes que je pose, les paroles que je prononce vont dans la direction de la vie dont je rêve? Sinon, qu’est-ce qui m’en empêche?

Est-ce que je fais des choix pour moi ou ma vie est-elle dictée par les choix des autres pour moi, les convenances, les peurs..?

Et pour pouvoir sans tarder inventer votre vie, voici le programme que je vous propose :

1) Autorisez-vous à rêver, à désirer : nous en sommes généralement découragés par un quotidien morose et ultra-rationnel, et si c’est votre cas, prenez une grande dose d’imaginaire ! C’est cela qui nous maintient en vie. Désirer, en étant conscient que tous les désirs n’ont pas vocation à être réalisés, il s’agit simplement de laisser libre cours à son imaginaire. Vous aurez ainsi accès à une connaissance de vous-même importante et vous vous surprendrez à avoir de nouvelles idées ! Donc de quoi rêvez-vous? Vous pouvez écrire dans un cahier tout ce que vous désirez, même (et surtout!) vos rêves les plus fous. Cela donnera à cette partie de vous le droit d’exister, ce sera une reconnaissance de vous-même. D’autre part, cela vous permettra de savoir où vous voulez aller. Or pour pouvoir aller quelque part, encore faut-il savoir où nous voulons aller 😉

Certaines personnes sont déjà bloquées à ce stade, tant nous vivons dans un monde hyper-réaliste. Il vous faudra peut-être du temps pour vous reconnecter à vos désirs profonds. Ce qui peut vous aider, c’est de vous relier à la nature, vous retrouver seul, méditer, noter vos rêves au réveil, écouter de la musique, danser… Vous pouvez essayer ces différentes choses pour retrouver le contact avec votre imaginaire.

2) Réalisez vos désirs les plus importants, ceux qui vous tiennent le plus à cœur : pour cela, il s’agira de faire des projets pour voir si votre désir peut s’inscrire dans une réalité.

En effet, il ne suffit pas de rêver pour inventer sa vie, encore faut-il mettre en place des choses pour vivre cette vie. Alors il s’agit de se retrousser les manches. Maintenant que vous savez dans quelle direction vous voulez aller, comment allez-vous vous y prendre pour passer à l’action ? Quels sont vos moyens? Vous aurez à vous confronter à la réalité et peut-être à vous adapter, tout en gardant votre objectif en tête.

3) Allez à la rencontre de ce qui vous freine : croyances limitantes, regard des autres, manque de confiance en soi, deuil non fait, dépression, maladie… Si vous sentez que quelque chose vous tire vers le bas et vous empêche de vous réaliser, il est grand temps vous occuper de toutes ces barrières, c’est-à-dire de vous occuper de vous 😉 Vos limites sont à l’intérieur de vous, pas au dehors la plupart du temps.

Il n’y a pas forcément besoin de changer radicalement de vie pour inventer sa vie. Parfois, il s’agit simplement de porter un autre regard sur des choses qui ont pu nous affecter par le passé. Ou alors d’arrêter de saboter toutes nos réussites en nous culpabilisant. Ou alors d’apprendre à goûter au bonheur en arrêtant de vivre stressé…

Savez-vous comment vous auriez envie d’inventer votre vie? Quels en seraient les ingrédients indispensables? Si vous n’avez pas de réponse, je vous invite fortement à vous poser ces questions dans les jours qui viennent… Si vous en avez envie, je vous propose de me raconter dans vos commentaires de quoi serait faite cette vie dont vous rêvez 🙂


Vidéo de Jacques Salomé sur la communication dans la relation de couple

Je vous partage cette vidéo dans laquelle Jacques Salomé donne des clés pour mieux communiquer dans la relation de couple :

 

 

Un article sur la communication parent-enfant

Voici le lien d’un article que j’ai écrit pour le blog super parents, un blog que je vous recommande par ailleurs car il est truffé de conseils en matière de parentalité bienveillante :

http://www.supersparents.com/sanction-ou-punition/

Bonne lecture !

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Sortir de la pollution relationnelle

J’aime bDSCN2495eaucoup ce que nous dit Jacques Salomé au sujet de la pollution relationnelle : « nous ne sommes pas obligés de mettre le nez sous le tuyau d’échappement de l’autre ».

Lorsque quelqu’un est de mauvaise humeur, râle, ou est en colère, nous ne sommes pas tenus de subir ses états émotionnels. Nous pouvons nous écarter, faire un pas de côté pour nous préserver.

La mauvaise humeur est très contagieuse. Quand nous sommes au contact d’une personne qui a ses énergies au plus bas, nous pouvons nous aussi être atteints et voir nos énergies diminuer… C’est une sorte de mimétisme relationnel. De plus, la personne qui est de mauvaise humeur peut parfois nous rendre responsables de son état émotionnel et déverser sur nous des culpabilisations, des critiques par exemple, ce qui risque de nous affecter d’autant plus.

Nous ne sommes pas obligés d’être les déversoirs de la pollution de l’autre et nous pouvons faire en sorte de conserver nos énergies. L’inverse est vrai : les autres ne sont pas nos poubelles, c’est pourquoi je vous invite à être attentifs à ce que vous faites circuler dans vos relations avec les autres, afin de ne pas les polluer.

 Comment se protéger de la pollution relationnelle ?

Pour se protéger de l’attitude négative d’une personne, plusieurs possibilités s’offrent à nous.

Il est possible d’utiliser la confirmation : « oui, j’entends que tu es mécontent… » afin d’entendre l’autre dans son point de vue sans pour autant nous l’approprier. J’ai parlé dans un précédent article (https://blog-espere.com/un-outil-de-communication-efficace-la-confirmation/#sthash.e94moUVL.dpbs) de cet outil très simple et efficace de communication.

Une autre option serait de témoigner de soi, de son ressenti : « face à ton mécontentement, je ressens de l’impuissance, de la colère… »

Dans le cas où nous ne pouvons supporter la pollution relationnelle, il est toujours possible de partir, de quitter la pièce, de mettre fin à un dialogue qui nous coûte trop. En disant par exemple : « je ne suis pas disponible pour écouter cela » ou « j’ai besoin de m’isoler ou de sortir pour me préserver »… Car ce n’est pas contre l’autre mais bien pour nous protéger que nous faisons cela.

Une autre façon de faire serait d’envisager non seulement de ne pas se laisser polluer par les énergies négatives, mais en plus de diffuser la bonne énergie dont nous sommes porteurs. Si j’étais plutôt dans le bien-être avant d’entrer en relation avec cette personne déprimée, peut-être pourrais-je tenter de rester dans le bien-être et de le communiquer à l’autre. Car les énergies positives (bonne humeur, joie, bien-être…) sont aussi contagieuses que les mauvaises 😉

Trouvez-vous facile de gérer la pollution relationnelle? Comment faites-vous pour vous en protéger?

Vous pouvez répondre en écrivant un commentaire sous l’article, je serais ravie de savoir comment vous faites 🙂

3 étapes pour transformer une situation

Anaïs EUVERTE post on juillet 8th, 2013
Posted in La relation à soi Tags: , ,

woman holding lit up light string silhouette photography1) Accepter

C’est peut-être l’étape la plus délicate. Lorsque nous sommes confrontés à une épreuve, nous sommes parfois dans le déni de ce qui nous arrive ou alors dans la révolte… Cela est tout à fait compréhensible.

Pour traverser l’épreuve cependant, il s’agira d’accepter ce qui nous arrive. Accepter signifie accueillir et c’est cela qui pourra paraître insurmontable à beaucoup de personnes : comment accepter cet événement douloureux, comment l’accueillir alors que nous n’en voulons pas?

Paradoxalement l’acceptation peut être libératrice, elle est un lâcher-prise face à ce qui nous arrive. Elle ne signifie pas que nous sommes d’accord ou satisfaits avec cela, simplement nous disons en quelque sorte : « oui, c’est bien à moi que cela arrive, cet événement fait partie de ma vie ».

Accepter signifie prendre acte de ce qui se passe, ne plus s’en défendre ou s’en protéger, ne plus faire comme si cela n’existait pas ou ne nous affectait pas.

Cette première étape est essentielle pour grandir dans l’épreuve.

2) S’écouter

En acceptant ce qui nous arrive, nous allons accéder à nos émotions de façon authentique. Quels sont les ressentis qui nous habitent : peur, colère, tristesse, désespoir? Ces émotions auront besoin d’être entendues, exprimées peut-être à quelqu’un en capacité d’écouter.

Je vous invite à écouter vos ressentis face à ce qui vous arrive et à en prendre soin. Nous avons parfois tendance à nous dire : « je ne vais pas me laisser abattre, il ne faut pas que je sois triste… ». C’est l’idée qu’il faudrait être forts et ne pas vivre nos émotions, comme si celles-ci étaient synonymes de faiblesse.

Au contraire, les émotions sont la preuve que nous sommes en vie. Elles sont une vague éphémère : une émotion ne dure pas, elle ne fait que passer dans notre histoire.

Sachez être à l’écoute de vos émotions et peut-être entendrez-vous le langage dont elle sont porteuses. Car les émotions sont le langage de notre histoire, elles nous disent que quelque chose en nous a été réactivé, une blessure ancienne par exemple, au gré de l’événement vécu. Peut-être parviendrons-nous ainsi à faire le lien entre ce que nous vivons au présent et cette situation du passé et ainsi à faire un pas en direction de la réconciliation avec notre histoire.

3) La suite vous appartient

Que voulez-vous faire de cette situation et de ce qui vous arrive? Quel enseignement tirez-vous de cette épreuve?

Vous n’êtes pas forcément responsables de ce qui vous arrive, mais vous êtes responsables de ce que vous en faites.

Dans certains cas, peut-être pourrez vous changer la situation en elle-même. Par exemple, si vous avez un conflit avec quelqu’un peut-être pourrez-vous faire un pas vers cette personne et tenter de sortir du conflit.

Dans d’autres cas, la situation en elle-même ne pourra pas être changée : deuil, licenciement…

Pourtant, même dans ces situations, il nous reste encore une liberté : nous pouvons changer de regard sur ce qui nous arrive et en tirer une force pour rebondir.

Oui, il est possible de ne pas ajouter de malheur au malheur, il est possible de ne pas condamner sa vie suite à une épreuve.

Cette suite que vous choisirez de donner à ce qui vous arrive ne sera peut-être pas immédiate, peu importe. Le simple fait de savoir qu’il est possible de changer de regard sur les choses est extrêmement libérateur.

Je vous souhaite de toujours avoir en vous cette liberté de pouvoir changer de regard sur les événements.

 

 

 

Un outil de communication efficace : la confirmation

la confirmation Je vais vous présenter un outil à la fois simple et efficace de communication, tel qu’il est proposé par la Méthode ESPERE® de Jacques Salomé.

Cet outil permet d’entendre l’autre dans ce qu’il dit, sans pour autant approuver son point de vue. En effet, il est toujours possible d’écouter une personne dans ce qu’elle dit, même si nous ne partageons pas son opinion.

Cet outil s’appelle la confirmation : il s’agit de confirmer l’autre dans ce qu’il dit, c’est-à-dire de reconnaître son point de vue ou son ressenti comme étant le sien et ce, même si nous ne le partageons pas.

En voici un exemple : vous discutez avec votre ami d’un film que vous êtes allés voir ensemble au cinéma. Lui a beaucoup aimé ce film, et vous l’avez trouvé médiocre. Voici ce que donne ce type de communication généralement :

« J’ai adoré ce film !

-non, moi j’ai détesté… ».

C’est-à-dire que bien souvent, nous nions la parole de l’autre, comme s’il n’était pas possible qu’une autre personne ait une opinion différente de la nôtre. Cela donne des échanges plutôt pauvres.

C’est là que la confirmation intervient 🙂 : au lieu de  dire, « non, moi j’ai détesté », il est possible de répondre « oui, j’entends que tu as adoré ce film, peux-tu me dire ce que tu as aimé…? Pour ma part, j’ai détesté ce film… »

L’utilisation de la confirmation permet à votre interlocuteur de se sentir entendu. Elle permet à celui qui confirme d’apposer ensuite son point de vue, même s’il est différent, sans pour autant entrer en conflit.

Dans cette façon de communiquer, la parole de chacun est respectée.

La confirmation peut toujours être pratiquée, même (et surtout) dans des situations conflictuelles. Si votre chef vous dit  » vous êtes vraiment un incapable », je vous invite à pratiquer la confirmation, ce qui pourrait donner : « oui, j’entends que vous me voyez comme un incapable… » Il serait même possible d’ajouter :  « c’est votre point de vue, je ne le partage pas ».

Dans cet exemple, la confirmation a aussi un rôle de mise à distance nécessaire face à des paroles toxiques.

Ce n’est pas parce que l’autre vous voit comme incapable ou nul que vous l’êtes. La confirmation vous permettra de bien entendre qu’il s’agit du point de vue de cette personne, et que cela ne signifie pas que c’est une vérité.

Pour pratiquer la confirmation, je vous invite à commencer votre phrase en disant « oui,… » Ce oui signifie que vous accueillez la parole de l’autre, non pas que vous l’approuvez. Ensuite, il s’agira de reformuler ce que la personne a dit, avec les mots qu’elle a employés, de préférence. Après avoir fait cela, le champ est libre : vous pouvez poser des questions pour en savoir plus et écouter votre interlocuteur, ou directement faire part de votre ressenti ou de votre point de vue, selon les situations.

J’espère vous avoir donné envie de mettre en pratique cet outil relationnel. Si vous en faites l’expérience, je vous invite à témoigner dans les commentaires, cela pourra aider les autres !

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